modeste essai : Le vieil homme et la mer d'Ernst Hemingway
Date 07-05-2017 19:00:00 | Catégorie : Poèmes
| Modeste essai : Le vieil homme et la mer d'Ernest Hemingway en vers
Je ne sache pas de mer qui ne le hantaient pas des pêcheurs, Ni une mer où les poissons s'enuyaient, en chœur. Tout ce que je sais, c'est que le labeur n'est plus porteur. La mer n'est plus prodigue de marée.
Sans se méprendre sur l'heure, les pêcheurs bâillaient d'ennui, sous la malédiction de l'affliction.
Cela ne peut être nié, quant on le voudrait. Il n’ y a pas de créneau à prendre, sauf si l'on aime soutenir la gageure.
Santiago n'en fait qu'à sa guise. De peur de manquer, heureux serait-il et tout aise de compenser un jour sa Pondération Une énorme prise.
Une folie cette passion de vivre, qui croit au sein des grands malheurs. A tout les coups, les coups d'essai frappaient tous dans le beurre.
Le lendemain comme hier, Manolin revenait, à l'insu de sa mère, aider Santiago à réparer ses filets.
Une passion que rien ne la muselait. A ce vieillard la conduite du garçon s'y absolument réglée.
Les moments les plus monotones, non les moindres, où il prenait beaucoup de peine, pour se distraire. Quelques heures avant de lever l'encre, il allait au café du port, discuter le bout du gras.
Le cafetier, le garçon, aucune importance à leur prêter. Les deux sont d'une prévenance obséquieuse hors pair. En société des touristes Martin, Perdrico, Rogelio, il se plaisait. Ils aimaient l'écouter, baragouiner quelques mots de leur parler. Quand il se grisait de tafia et cessait tout à coup de se taire. Cuba empeste misère, tafia, rumba. J'y suis allé seulement pour voir. A-t-on jamais vu cela ? Bien que les gens sont aux abois, personne ne s'abandonne au désespoir.
Santiago ne posait pas ses filets en amateur. Résolu du malheur, le péril pris à cœur, depuis douze huitaines il hantait la mer. Déboire, impatience colère l'altèrent, les poissons ne se laissaient plus attraper. Les autres dont il rêvait, au lit, la nuit, les gros et les petits lui échappaient.
Un soir qu'il retirait son épervier des eaux, le filet tiré, les mailles arrivaient en cordon, Il poignit un énorme espadon.
L'histoire prise de plus haut, le poisson n'était pas attendu, la joie, l'émotion non plus.
Enfin, la liesse de Santiago est sortie de sa prison. En connaissance de cause, cette belle et fabuleuse pêche est quelque chose de maison.
Santiago est pêcheur de son état. Un pêcheur dans le tas, qui revenait à chaque fois bredouille.
Tiendra-t-il sa patience, ce jour, Longtemps, longueur ?
Le monstre résistait, se débattait. Sa lutte pour se sauver entêtait. Il ne faut pas que cette prise Rate, cette fois, sa capture.
N'est-ce pas un sujet de peinture les péripéties de cette aventure ? Après trois jours et deux nuits, le poisson lui-même, chose inouï, après qu'il se battait les flancs, il est battu à plate couture.
Les souffles de la brune flottaient, sur la vaste étendue de la mer. Il rentrait dans la joie, son butin traîné derrière. Il se dépêchait de rentrer Comme un cheval qui sent l'écurie. Il lui durait arriver. Sa femme lui manque son mari.
Il songeait les yeux ouverts, qu'il s'assied au haut bout de la table, pour un festin. Miam ça sent bon ! Il fait faim oui il fait faim, mais on danse devant le buffet.
Soudain, il vit de loin s'approcher des requins. Il trouva moyen d'être à ce que l'on fait et trouva à garder son calme. Le moyen de se débrouiller, il n y avait aucun.
Cela n'a pas de bon sens. ces créatures voraces sont une menace, quand ils ont conscience d'avoir faim.
Ils s'approchaient doucement ensemble. Ces monstres sont un peu poseurs. Ils se démenaient comme un diable, de plus en plus s'agitaient.
Vont-ils attaquer ? Probable. La circonstance sue la terreur. La peur du vieillard est panique, Apeuré, tout son corps tremble.
La chair de l'espadon brillait, d'un éclat douloureux. Accident malheureux, ils ruèrent tous sur la proie..
Le vieil homme regardait, stupéfait de voir ce qui arrivait. De vigoureux coups de dents vidaient dévoraient son poisson.
En un mot comme en cent, c'était une besogne magique que chacun des requins enlevait superbement.
La partie de pêche finit en queue de poisson. Les squales ont bâfré tout le poisson. Faut-il en rester là de ces impressions ?
Ces maudites taupes sont fortes, à s'accaparer la pêche d'un pêcheur. Le vent est fort à forcir. La mer sait très bien comment s'agiter. C'est bien le bout du monde, si les hommes, qui se sont mis à l'heure de la survivance, détesteraient un jour continuer à vivre.
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