Vivre, je voudrai vive de la faim d’éternité Pour pouvoir faire un si tant d’activités Ne plus me dire ton temps est compte Hâtes- toi, ton existence va être abrégée
Jamais trop longues ces luxuriantes secondes J’attends toujours le nouveau temps fécond Où mes passions et mes amours se fondent Dans l’espace de mon impatience qui se morfond
Quand bien même mon esprit déraisonne Ma pensée lui rappelle les jours qui sonnent Encore nouveaux mais jamais monotones Il en redemande encore et toujours mille sommes
Pourtant je suis pauvre, je rase le long des murs De ces moments d’incertitudes bien trop pures Mais ce grand plaisir de vivre est tout mon trésor Je le protége au fond de mon âme sans remord
Je ne voudrai être condamné à vous vendre ma vie Je vous le dis dans mon cœur elle n’a pas de prix Vous les marchands pieux quitter mon chemin sapristi Je n’ai grand besoin prétentieux d’être riche au paradis.
Vous les voleurs de vie laissez nous chanter notre paix Ne nous garantissez pas de votre monde de torpeur Car seule notre innocence couvre le bruit de vos horreurs Nous souhaitons échapper à vos guerres, à vos perfidies amères Levons ensemble le glaive de notre amitié pour glorifier le bonheur Il nous offrira prix absolu pour préserver la sagesse de nos vies ☼₣€
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