Mon voyage imprévu
Date 04-01-2015 12:00:00 | Catégorie : Nouvelles
| Réponse au défi de Donald
Mon voyage imprévu
C’est le dimanche 24 février, j’ai fait un cauchemar effrayant et je me réveille en sursaut et là je me retrouve dans une maison inconnue, je me dis que je suis encore entrain de rêver mais malheureusement c’est la pénible réalité, il y a mes vêtements et mon sac juste à coté du lit, je m’habille et puis je commence à paniquer et me dire où je suis.
Je jette un œil par la fenêtre, je vois une route et une pancarte publicitaire écrite en espagnole ou en italien, je ne sais pas et là je sors de cette maison en courant, je sens que je deviens folle.
J’essaie de me souvenir si j’ai pris l’avion pour cette destination, je me souviens de rien, une femme passe à coté de moi, je lui parle d’abord en français en lui disant où sommes nous ? Elle me répond pas, en fait elle me regarde bizarrement, j'essaie de lui parler en anglais en lui disant avec ces termes un peu maladroits : « Excuse me what is the name of this country » et puis je me dis "country" c’est le pays et non pas la ville mais je me dis encore c’est la même chose. Cette jeune femme ne me réponds pas, elle tourne la tète et s'en va, elle a la trentaine les cheveux noir et les yeux vert.
Je m' assis une minute en disant peut-être que c’est une caméra cachée, et que pendant que je dormais on m’a transporté jusqu’ici , et je commence à me demander comment je ne me suis pas réveillée pendant le trajet, suis-je venue par bateau ou par avion, je continue de marcher et là je trouve des enfants entrain de chanter « Viva Colombia » et là je me dis je suis en Colombie alors et effectivement quelques pas plus tard , je trouve une mairie avec le drapeau colombien.
Je suis effondrée je commence à crier dans tous les sens « Je veux rentrer chez moi, je vous dis queee jee veuuux rentrer chez moiii », Et les gens commencent à me regarder avec le sourire au coin. Et là je continue : « Je ne sais pas qui est responsable de cette mascarade , mais moi je veux rentrer , ça suffi maintenant », je regarde tout le monde et je dis « Vous voulez ma photo » et là à force de crier tellement je panique,, un policier me voit de loin, les gens croient que je suis ivre, il vient et il m’arrête et je me retrouve au commissariat, je comprends rien de ce qu'ils me disent je leur dis juste que je veux renter chez moi, « I want go to home » après une séries de questions interminables, les policiers me demandent d’où j’étais, je leur réponds en Anglais, l’un d’eux parle parfaitement l’anglais me comprend finalement.
Après quelques recherches sur son ordinateur, le policier me dit en anglais qu’il y a un homme qui est venu déclarer ma disparition, il s’agit de mon oncle, le policier l’appelle alors sur son numéro de portable que mon oncle leur a laissé. Après une heure mon oncle arrive il m’explique que c’est une surprise qu’il m’a faite pour mon anniversaire, il faut dire que mon oncle est un homme riche il a loué un avion, il s’est arrangé pour me faire le visa , il a des connaissances et ils avaient pas besoin de moi à l’ambassade, ils m’ont directement donné le visa, il avait mon passeport, il voulait qu’on aille en fait en Amérique, et on devait passer par la Colombie et pour arriver à ses fins, il a des moyens plutôt radicaux, il a mis un somnifère dans mon verre pendant mon anniversaire pour que je ne me réveille pas en route, ça semble incroyable mais il m’a conduit jusqu’en avion et il m’a mis à l’intérieur et pour finir, la maison où j’était est la sienne, il a une en Colombie et pendant que je dormais, il est allé cherché des courses pour le déjeuné et au retour il m’a pas retrouvé.
Il s’excuse alors pour la frayeur qu’il m’a faite, et je le remercie pour son cadeau d’anniversaire et un jour après on part tous les deux aux états unies, je suis très contente car c’est mon rêve depuis toujours d’y aller. On passe une semaine superbe, j’en ai profité pour prendre des photos à coté des monuments célèbres comme la statut de la liberté et ensuite, on est retournés chez nous pleins de souvenirs que je n’oublierais jamais.
S.B
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