La lumière triomphe sur l’ombre de l’échec

Date 02-02-2014 05:36:55 | Catégorie : Poèmes


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La lumière triomphe sur l’ombre de l’échec’’

Retrouve-moi dans un désert sans fin, avec une bouteille de vin en main
Marchant à l’infini en regardant l’horizon qui est sans fin, je cherche mon idéal mais en vain
Le vent est chaud, le ciel est noir
Je m’approche de quelque chose, et soudainement, je tombe dans le noir.

Tout est si noir autour de moi
Tout est si triste autour de moi
J’appelle même le ciel mais il ne me répond guerre
Je me rends compte que je touche le fond
Tu sais ? Ce fond noir ou tout est si sombre
Le ciel auquel je suis marié depuis tant d’années vient de me tromper
Je me sent trahi, moi qui a tant prier, voilà que je suis tombé

Dans ce trou, aucune lumière
Ce si beau jour n’existe jamais
Mes cernes entrent en guerres
J’ouvre mes veines, j’exprime mes peines
Sur un mur de haine

Errance dans ce trou du siècle
Que faire, je gratte les murs
Je ronge mes ongles longs et durs
Et je Tourne en rond ne sachant quoi faire

Ma tête tourne à l’envers comme si j’avais trop bu d’alcool
Le temps s’écoule , les aiguilles tournent , je rève de tournesol
Mais je passe le temps , à me tourner sur le sol
Ma tète tourne à l’envers , je regarde le soleil décrire une parabole
Plus Les secondes s’écoulent, et plus j’espère que l’eau du temps me mènera à la surface
Mais le temps s’écoule, oui et donc ne sèche pas mes larmes
Ce temps qui est une lame taillade mon âme et la mort me charme

Je ne peux pas m’apitoyer sur mon sort
Moi qui es tant marché dans ce désert, abandonné, serais médiocre


Alors comme un chien, je creuse un terrier
Un terrier comparable à mes ambitions les plus fortes
Un terrier qui comblera ce trou dans lequel j’ai plus de force
Une goute puis plusieurs gouttes qui viennent du ciel tombent sur mon torse
La pluie abats ses lignes , le ciel ne m’a pas oublier
Il attendait juste que j’ouvre les yeux et que je rajoute du sable dans mon sablier

Cette pluie, cette eau de réussite
Elle tend les bras , je n’est qu’a les saisir
Non loin de là ce bord que j’ai tant convoité
Je le saisi et là , tout cet immense trou fait partie du passé

J’ai reussi a ressortir la tète de ce périple horrible
Le ciel devient tout à coup bleu
Le soleil m’éclaire tel une bénédiction
Me tournant , je continue de marcher vers mon horizon
J’ai juste les yeux ouvert j’évolue de façon certaine
J'aperçois sur la terre beaucoup de clous et de trou
Mais l’essentiel est cette lumière lointaine

Homme, tu a des envies auquel tu cogites
Ne crois pas qu’elles sont utopiques
Si l’échec est une femme , j’aimerai ètre misogyne
Car la mort est son synonyme .




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