Des regards fuyaient devant les précipices des peaux liquides Des doigts regardaient les chairs des rêves dansant dans le firmament des visages acoustiques Des pardons de pluies moléculaires en extase des rousseurs des âmes chrysalides Des ivresses de langues éprouvaient les désirs des splendeurs éternelles ou baignent des sentiments hybrides Des pâmoisons de fleurs riaient des étoiles trouées de langueurs microscopies Des mains crevées irradiaient des parfums d'oiseaux les lyres végétales Des alcools providentiels murmuraient des cris de raisins à pluies découvertes des rires magnétismes Des sourires illuminés aux rousseurs des yeux moléculaires ô péchés des profondeurs de soleil sœur Des continences de cerveaux pleuraient devant les commotions des échines mathématiques O verbe des présents organiques ou hurlent les papillons linguistiques O mensonge des électroniques nénuphars ou bavent des genoux musicaux O Temps des secrets invisibles ou signent les virginités des fronts lumineux, ô esthétiques des chevelures saignées O écriture des abeilles miroirs lavées des transparences, les mimétismes orgueils, des pulsions imaginaires O des exhalaisons de végétations en larmes devant les yeux accroupis, les informations génératrices, des nourritures blasphèmes Les gouttes plastiques, des vins imitatifs, les ployées digressions des torches d'étoiles obsessionnelles ô offrandes pâmées ! Les pluies de feux émues jusqu'aux paroxysme des enfantements pensés Des accordéons stylistiques écoutaient les génocidaires guitares, des pains littératures O pachydermes des astres aux âtres crépusculaires, les fortunes alimentaires Lâche !
|