Une nouvelle amitié
Sorti de ma grande solitude
Capté par un nouveau regard
Je me suis laissé aller hagard
Sur l’horizon des mansuétudes
De ma saine volonté farouche
J’ai esquissé quelques mots
Pour obsédé me rassurer de si tôt
De ces nouveaux pas sur ma bouche
L’esprit sensible de la nouvelle union
Qui m’entraîne sur de puérils sommets
Où je rejoins preste ce flash d’amitié :
Accointance de ma frugale pensée
J’ai tendu à une autre pensée mon obole
Dans ma propension d’élire sans nudité
Un penchant bienfaisant de belle équité
Qui serait pour nous le respect du symbole
Relation d’une union intime familière
Qu’une sympathie étrenna studieuse
Pour nous conduire à la sagesse malicieuse
De la magnanime entente dans ma tanière
Couchés en vérités sur la trace d’un pacte
Notre abnégation de bien nous comprendre
Ont rejetés aux mares nauséabondes ces cendres :
Prémisses de pensées galvaudées dans l’entracte
Notre solidarité fut complice d’actes gratifiants
Quand l’aide somptueuse à l’heure des tourments
Fit le don de nos largesses à notre serment
Qui fidèle su absorber l’abcès de nos différents
Nous avons engrangé ce mirifique trésor
Qui dort protégé dans nos consciences
Au calme de la soumission de nos méfiances
Dilatant notre amitié : Sagesse de notre essor
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