Cliquetis distant de quelques cœurs qui s’entrelacent L’on les voit les tendres qui se cherchent, qui se trouvent Ceux-là les glorieux, les beaux sur qui le temps passe Sans jamais peser vraiment, légères plumes qui s’ouvrent À la plénitude extatique de la rougeoyante explosion des sens Au bonheur de se sentir mourir pour renaitre ailleurs au loin
Là -bas où c’est parce que l’on aime que l’on est, que l’on pense Gloire à vous les adorables, je vous envierai toujours avec soin
Fugace ombre qui sautille joyeusement dans l’horizon, insensible Au doux son d’un violon enragé d’un bel amour, fureur poétique Elle danse, elle rît, elle rayonne, c’est tout à fait terrible La maligne, la mignonne, je la vois, je la vois l’Hégémone romantique
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