Turlututu lu lulu, d’un flux farfelu Assis ici, à l’assis d’un tamis, mal assis Ainsi se ditil séduit, du dit lit d’ici Pas de tohu-bohu nu, sans dû, du vu
Là , pas là , il s’installa appât de cela Oripeau de peau, dépôt aussitôt bon pot Au flot de mots, sur le dos de l’à nouveau Fracas de ce là las, que grave ce patatras
Ceux de feu, trop malheureux de vœu Cala bras parias, à sa féria abracadabra Appas pour galéjas, y sombra d’apparat De peu d’adieu, aveu de boutefeux bleus
Ris, et revis ta lie, replis d’un lit mi servi Hulules à la lune au fur, du dur de ce dur Pur ta mûre figure, battu contre le mur Livide déni de ton dépit, vis et ne lis ceci
N’Imite ce mari, il prit tout souci pardi A la trappe du trépas, il va taratata A la casbah de sa nana, quand il l’adula D’une hystérie de génie, surgie de sa maladie
O photo! Toto à le dos trop beau, pour de sitôt Ce morbleu de crier, l’aveu de la bas-bleu Sacrebleu ! Corbleu ! Je veux son désaveu Collabo ton cadeau d’aficionado, ton vil bobo !
Ah! Là bas, ta savate déjà ne sera plus là Oh! Un oratorio au dévot accro d’albédo Prestissimo, animato, pas d’asiento solo Là s’abusa le scélérat, se vexa d’holà ! Houka! ƒC
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