Cher Serge,

Comme je suis heureux de te lire à nouveau.
La quiétude de ton poème me saisit l'âme.
Je vois réellement cette ombre évanescente.
Elle nous entoure. On croit la voir et elle n'y est pas, à moins qu'elle n'y soit pas et que l'on croit la voir réellement.
Et la nuit revient. Et le silence peut être aussi!

Sois remercié pour ces moments de douce quiétude.

J'espère que tu vas bien. Quelques ennuis de santé et mon métier prenant m'ont éloigné encore d'ici mais j'y reviens toujours avec cette quiétude, à laquelle tu nous éveille. Le bonheur est là aussi.

Amitiés de Dijon.

Jacques

Salut Isté,

c'est également un reel plaisir de d'avoir de tes nouvelles, en te rappelant qu'il te faut prendre soin de toi.

Ceux qui te sont chers doivent te le rappeler, car si l'activité professionnelle est iumportante, rester en bonne santé, proche des siens, est une notion encore plus iumportante.

J'ai, hélas, payé pour le comprendre, mais un peu tard.....

Ccncernant le site de l'ORée, ton absence conjuguée à celle de Donald , Couscous et consorts m'a fait éloigner de celui ci ces derniers temps, mais peut etre en reviendrais- je bientot de maniere plus assidue???,

Aprés ceux que j'avais avec Bacchus, mes échanges sur le défi avec ''l'ami Isté'' me manquent et j'ai du mal désormais, à retrouver cette qualité de partage.

Il faut laisser du temps au temps disait François, l'homme de Château-Chinon, alors acceptons en l'augure....

Amitiés Isté et fait attention à toi!!

Serge..