« Mon Amie de là -bas ! »
La gracieuse Dame qui est chère à mon cœur, A, sur son visage, la délicatesse de l’enfance. Elle est mon « Angeline » faiseuse de bonheur. Une pensée vers elle, chasse toute désespérance.
Elle connaît l’amitié sincère que j’ai pour elle. Elle n’en a jamais fait, pour autant, une chaine. Un clin d’œil d’elle, m’emmène au-delà du réel, Dans son monde de chiffons et de jolies dentelles
Quand quelquefois elle laisse aller ses pleures, Ses larmes ne sont là que pour laver son cœur. Mais quand ses cris sont des éclats de ses joies, Cette gaieté devient alors des caresses de soie.
Cette belle Dame, sans bruit, m’a attaché à elle Faisant ainsi de moi, pour la vie, son ami fidèle C’est alors par ma pensée, qui rejoindra la sienne, que, j’irais admirer toutes les beautés ibériennes.
Johan (JR.).
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