Salut mercier,
J'avoue m'être assis deux fois avant de relire ce poème, tellement il m'a semblé stratosphérique, dans le bon sens du terme.
Quantique, dirais-je !
"Tu files avec les météores,
Tu verdis avec les prairies
Tu brûles avec les novae instables,"
Ce poème est surchargé, dans une sorte de Big Bang où les mots trouvent enfin leur espace dans un temps infini. C'est des fois "Too much" comme dit souvent ma belle-fille, quand elle ne torture pas son pauvre téléphone mobile parce qu'il ne lui répond pas dans les cinq nanosecondes. Personnellement, je préfère l'excès au vide sidéral. Ici, pas de vide, uniquement de la matière, du temps et de la gravitation.
Il m'inspire tellement, ce poème que je pourrais en écrire des tartines, juste au cas où il manquerait de commentaires. Nul besoin d'être Hercule Poirot pour comprendre que j'ai beaucoup aimé.
Bravo !
Don