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Accueil >> xnews >> Jalousie - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Jalousie
Publié par modepoete le 11-12-2017 21:40:00 ( 762 lectures ) Articles du même auteur



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Accroupi dans la haute futée
De son esprit ravagé de troubles
Il veillait par la lorgnette de la passion
Le passage interdit, de son double

Enchaîné à la prison, de sa pensée
Il fulminait des images, trop noires
Lui interdisant le calme, des vérités
S‘ensuivat une course folle, au miroir

Elle n’était plus là, le visage en beauté
Pour qui ? Pour quoi, Pas pour lui!
Immense détresse, veut-elle m’aimer ?
Je dois m’en assurer, déjà je m’enfuis

Trois pas courus, mon esprit me converse
Où est-elle ? Que fait-elle ? Qui avec elle ?
Les rues sont longues, je les refais à l’inverse
Corps tu trembles d’impatience, là c’est elle !

Esprit ne joue pas avec mes yeux, ils cernent
Cet environ morose qui déjoue, mon vaste projet
Te découvrir en faute, je veux savoir où tu mènes
Tes envies, tes désirs, je me sens perdu et rejeté

Je ronge, je ronge le fruit amer, de ma perdition
Mon âme obstrue les oreilles, de mon penchant
Funeste déraison, déchirer en lambeau ma passion
Fracasser en morceau, le fruit de l’amour ravageant

Mes baisers saura-t-elle les abriter, trésor convoité
Je ne puis les laisser voler, sans en retenir la saveur
Impossible! Elle ne pourrait s’enlaidir de rivalité
Mon cœur pleure, il broie ce nouveau noir, Ô laideur !

Le temps se perd dans le temps, je dessine mille rondes
Le sol me conseille un retour, vers ma cache d’amour
Pas pressés, mes jambes se désarticulent, quel fronde !
Ma tension tempête, dans mon cœur, dernier détour

Depuis quatre heures, mon esprit ravage tout mon corps
J’ouvre la porte, elle est là, premiers cris; d’où viens tu ?
-je t’attendais, je n’ai pas quitté la maison, je t’aime
- pas possible, je te croyais…. Je te croyais … Je suis fou, ô vertu !
Æ’C

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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