Heureux,comme un enfant qui joue, J'ai embrassé la vie sur ses joues. Mon corps fixe sa beauté et ses merveilles, Mon âme aspire la douceur éternelle.
La vie,de son magnifique sourire, Mon ça s'est enfuit hors de moi Sans avoir l'ordre de mon moi À la quête du bonheur et du plaisir.
Mon esprit derrière lui,va en vagabond Avec ses rèves,las comme un moribond. Et,les desirs me font souffrir Puisque je ne peux les saisir.
Là où l'on cherche une joie sans fin, La vie s'attire avec force vers sa fin. On l'appelle mais elle nous donne le dos. Sa réponse est sur le temps mais sur le mot.
La vie semble qu'elle ne va nulle part Alors qu'elle court à grand pas. Par surpris,certains connaitront cela Devant la mort qu'on ne trouve aucun rempart.
O vous qui pleurez le défunt, Oubliez-vous que la vie est un parfum Qui ne nous enivre qu'un instant Pour nous laisser tomber dans le néant.
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