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Accueil >> xnews >> La vie semble n'aller nulle part - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : La vie semble n'aller nulle part
Publié par Za90lebou le 08-11-2017 20:00:00 ( 824 lectures ) Articles du même auteur



Heureux,comme un enfant qui joue,
J'ai embrassé la vie sur ses joues.
Mon corps fixe sa beauté et ses merveilles,
Mon âme aspire la douceur éternelle.

La vie,de son magnifique sourire,
Mon ça s'est enfuit hors de moi
Sans avoir l'ordre de mon moi
À la quête du bonheur et du plaisir.

Mon esprit derrière lui,va en vagabond
Avec ses rèves,las comme un moribond.
Et,les desirs me font souffrir
Puisque je ne peux les saisir.

Là où l'on cherche une joie sans fin,
La vie s'attire avec force vers sa fin.
On l'appelle mais elle nous donne le dos.
Sa réponse est sur le temps mais sur le mot.

La vie semble qu'elle ne va nulle part
Alors qu'elle court à grand pas.
Par surpris,certains connaitront cela
Devant la mort qu'on ne trouve aucun rempart.

O vous qui pleurez le défunt,
Oubliez-vous que la vie est un parfum
Qui ne nous enivre qu'un instant
Pour nous laisser tomber dans le néant.

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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