Dans l'ineffable lueur de la nuit, il s'approche de l'achèvement. Le coeur en parenthèse. Répugnante foutaise. L'ennui passé se meurt loin d'ici. L'orage qui progresse sécrète des pensées gluantes dans son esprit. La fin ne sera pas différente du commencement. Et même avec un début, il n'est pas plus avancé sur la fin. Les bruits de la ville se retirent concrètement. Le hululement de la chouette hulotte lui indique le chemin. Il marche sur la terre de ses ancêtres. Vilain petit être à l'air revêche, respire une dernière fois la toxicité de l'atmosphère. L'achèvement venu, la terre s'arrêtera et son coeur avec.
Alouette, gentille alouette...
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