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Accueil >> xnews >> Chemin de la sagesse - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Chemin de la sagesse
Publié par modepoete le 25-10-2017 13:36:18 ( 707 lectures ) Articles du même auteur



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Dans la douceur de ma vallée
L'humble sagesse se serpentait
Sur les parois trop abruptes
Des vertus jouissantes d’inaptitudes

Patience de ma bonne science
D’attendre serein en conscience
L’instant dévoilé de la riche vérité
Je ne me connais plus, toi tu me sais

Gourmandise tu veux que je m’étourdisse
A ta volupté que le suave m’ensevelisse
Je ne te violenterai pas de mon apathie
Je t’ignorerai gage de ma sincère égérie

Envie tu pourrais être mon malheur
Ton désir est la sagesse de ta torpeur
Je ne peux vouloir postuler en drastique
À ce monde que l’on ne touche pas fanatique

Orgueil tu souhaites que je me vante
D’être ce que je ne suis, un imprudent
Je me soustrais à ta banalité du référent
Laisse-moi n’être qu’un souffle itinérant

Paresse tu caresse lâche ma volonté
Pour me dire ne cherche pas l’inutilité
Je te dis tout, peut être utile dans mon action
Seul compte le bon sens de ma partition

Colère tu te présentes sur mon sentiment
Comme un venin tu pourlèches le mendiant
Je me cambre aux mélopées des faux aspects
Et le calme me sourit toujours de son amitié

Avarice te garder entière à ma raison
Et me faire croire à ma sublimation
Je ne puis entasser ton lourd fardeau
À nu mon esprit se promènera incognito

Luxure mon corps n’enrichira pas ta frime
Je n’ai rien à te devoir ou à prendre que tu affirmes
Ma pensée se satisfait de faire ce dont il lui plait
Et tu ne dérangeras sa tranquillité du tout parfait

O vices laissez moi loin de vos tourments
Je veux promener mon esprit sur des chenins clairs
Où complices se promènent les vertus mères
Pour bercer ma vie dans le silence des mes sentiments

Je suis encore là, à contempler ce long chemin
Mon âme s’avance sur l’apprentissage des demains
Ma paix intérieure me mène sur la voie sans parterre
Où se couche nu mon être sur le lit de la sagesse greffière.
Æ’C

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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