Je cherchais
L’idéal de la beauté
Assis sur les nuées
Là où les Dieux priés
Sont en festivités
Je fus invité
Mon humilité.
A retardé ma pensée
Pourrai-je me présenter
Pour là , la toucher
Mal habillé, l’âme dépenaillée
Je fus détourné
Alors mes yeux d’azur gantés
Se sont approchés
Au paysage du bel été
Dans la nuit claire de la bonté
Soleil peaufiné de nacre prisé
Cristal de pureté
Formes fardées
Au plus, du plus haut désiré
Elle scintillait
O perle des divinités
Pourrais-je mon regard le poser
Sur ta splendeur invétérée
Dis-moi qui le pourrait
Ne serait-ce que t’effleurer
En tes yeux enflammés
Sagace me voilà pétrifié
Par ce trop merveilleux inviolé
Que l’on ne peut, étonné
Au grand jamais
D’un certain la pouvoir séduire et aimer
Quand on se la veut garder couchée
Contre son cœur amouraché
Délices de mes tendres pensées
A l’affût du jour insensé
Où toi Déesse éthérée
Amoureuse de mon lai
Tu descendras dévoilée
Pour conquérir décidée
Un cœur subjugué
Par ta beauté démesurée
Alors ce merci je le dirai
Aux Dieux attentionnés
Par mon humble souhait
Splendeur majestueuse
Ma pensée affectueuse
Te tends amoureuse
Sa lumière délicieuse
Pour couvrir audacieuse
Ton incandescence prodigieuse
D’une fertile passion lumineuse
J’entretiens d’enrichir ta beauté fastueuse.
Ô beauté majestueuse
Que soit mélodieuse
Notre union somptueuse
Où l’amour sera doux jeu
Æ’C