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Accueil >> xnews >> Le soir me confia - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Le soir me confia
Publié par modepoete le 07-10-2017 18:00:50 ( 804 lectures ) Articles du même auteur



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En cette Journée terne, le soir me confia
N’aguiche pasimprudent la pleine lune
Viens prés de moi aux sillons de ma dune
Où se cachent les secrets du faste des férias

Sombre dans mes bras n’hésite pas, là couches toi
Dans les révélations salutaires de ma belle nuit
Les étoiles étincelantes sont dans mon ciel éblouis
Elles éclaireront ton conscient au format de ma loi

Quand tes yeux piégés s’abriteront de mon sable
Tu me chemineras dans la vallée des mirifiques rêves
Pour côtoyer serein des paysages radieux sans trêve
Dans l’extravagance de la mouvance utile de mes fables

Je te laisserai le loisir utopique d’aimer sans vergogne
Ceux que le réel ne veut jamais fallacieux te confier
Dans la tendresse de mon espace pour pouvoir être mystifié
Afin que tu veuilles toujours me serrer détaché de ta grogne

Dans ma vallée nocturne nous irons dans les vastes paradis
Où chaque pas illumine la vie de fantastiques moments
Revêtue des linges soyeux de la pureté des innocents
Tu fouleras émoustillé ces mondes imaginaires de l’envie

Tu marcheras enchanté prés de tes aïeux au loin perdus
Ils te fourniront preste leurs espérances du temps passé
Héritage inné des amours survécus aux demains dépassés
Que tu partageras à ta dulcinée surgie de sentiments tenus

Merci mon soir de ne me faire connaître le somptueux bonheur
On est si bien dans ton univers au centre de mille richesses
Où les faims n’ont plus de faims et chassent toutes les tristesses
Pour laisser place à ces plaisirs conquis à l’instant de la fureur

Je te laisse profiter au mieux de toutes mes beautés instantanées
Sache qu’à l’heure où mon voisin le jour viendra me saluer
Je te quitterai sans préavis sur ton grand chemin de la réalité
Puisses-tu enfin imaginer tous ces beaux mondes émancipés.
Æ’C

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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