Le chemin perdant ou le 432,
La vie n'est autre qu'un immense chemin Celui rempli d'embuches dont le destin Si souvent désigné, ni sera pour rien.
La rêverie, souvent peut couter la vie Si nous ne prêtons garde, de là , de ci A nous laisser ainsi porter par des si.
Il faut laisser l'image de la brise Se fermer aux tendres cœurs et sans prise Pour éviter l'écueil d'un jour de crise.
Il aurait fallu prendre une décision Ce jour-là à cette première impression Pour éviter la triple déception.
La reconnaissance pleine et sans raison Du réciproque et authentique pardon N'a jamais eu de véritables raisons.
L'erreur à nouveau m'incombe et m'habite D'avoir laissé l'ennui courir si vite Pour un beau regard asymétrique.
Fuyant, j'ai parcouru avec ce beau cœur Quatorze semaines d'intenses douleurs Pour maintenant ne jamais plus vivre ailleurs.
Basile Béranger Chaleil
Le 15 décembre 2013
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