Heureux est le faste mot qui hante
Nos jours, nos nuits, de ces quotidiens
N’aspirez à rien d’autre que ce bien
Donnez brin de sagesse, qui nous enchante
Tout sera établi, pour tisser le le bonheur
Libération de ces viles contraintes de dépravée
Rejets des sarcasmes comme ces fleurs fanées
Fraîches vous n’en garderez que vision des saveurs
S’endimancher à la vie, que tourne le manége
De ces joies, plaisirs des somptueux esprits sains
S’accaparant le pompon, d’un encanaillement serein
De vos désirs qui réitéreront de nouveaux tours arpéges
Cueillir sur les prés de nos pensées jolis bouquets
Leurs tendres bourgeons, ils écloront d’actions en feria
Qui ne vous laisse plus le temps fou d’être un paria
Vous engendrerez lumières propices au sacre de l’amitié
Esquivez les chemins étroits où se rencontrent les peurs
De ces malheurs qui indisposent perfides vos ferveurs
Ne vous laissez pas entraîner sur la voie des frayeurs
Echappez à ces tornades qui brisent les douces saveurs
Ne côtoyez plus l’insidieux, relevez la tête vers ce précieux
Vos bontés qui se démarquent des orgueils, des avarices
Soyez magnanimes vous trouverez un ciel d’admiratrices
Dans ce soleil qui essuie les nuages sombres trop aventureux
Le bonheur ne se cherche pas il se lève fidèle en votre être
A votre image qui lui donne le tempo d’une volonté gracieuse
De déposer sur les autres ces sourires vertueux d’une doucereuse
Chaleur vivace
Qui suinte de vos pensées ; caresses du beau, du bien être.
Æ’C