| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Afficher/Cacher la colonne
Accueil >> xnews >> La mort sûre du serpent - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : La mort sûre du serpent
Publié par tagazou le 26-07-2017 22:00:00 ( 610 lectures ) Articles du même auteur



Un serpent qui se mord la queue
Au grand jamais ne s’empoisonne
M’affirmait l’accent rocailleux
Un cobra né dans cette zone

Vois-tu ! il serait infecté
Si un reptile d’un autre ordre
Comme l’aspic vipéridé
Venait perfide la lui mordre

Crois-moi ! Son compte serait bon
Si la mordillait amoureuse
Cette vipère du Gabon
Jalouse autant que venimeuse

Armée de ses crochets pointus
Cette foudroyante africaine
Tuerait la céraste cornue
Egratignant sa queue à peine

Ces propos furent ravageurs
Et bien qu’ils m’aient laissé sceptique
Avec ma femme de couleur
J’exclus depuis quelques pratiques…


( bonsoir à tous! J'ai honte de mon manque de gratitude envers vous je vous le jure! Je suis un fainéant fieffé et pour changer cela tient de la gageure. A vous tous pardon! Tadazou



Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
57 Personne(s) en ligne (14 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 57

Plus ...