Céline,
Petite fleur collée copiée Tu ris, tu pleures et tu aimes Aux tristes murmures acidulés Les beaux rêves de ta sœur ainée.
Pourtant tu essayais d’exister A travers mimiques et grimaces Ce que ta jumelle parodiait De ses quatorze mois plus tôt née.
Tu as su grandir et avancer Beauté douce comme l'azur Cherchant en toi ton identité Dans la vie réfléchie et aimée.
Femme aux multiples talents Tu gardes ce côté magique Toutes questions en les comparant Et les garçons en les étudiant.
Identique à la fleur parfumée Tu ne passes pas inaperçue Catalysatrice à la beauté Attirant les regards des années.
Tu sauras enfin un jour aimer Celui bien dans sa tête et son cœur Qui pourra heureux avancer Dans l'avenir à deux enlacés.
Basile Béranger Chaleil
Le 25 novembre 2013.
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