[ Sur le petit sentier escarpé, de ma rêverie J’ai déambulé tranquille, afin de rejoindre Preste les boulevards sophistiqués, du moindre Ces curieuses pensées, qui me lisent l’esprit enhardi
Oh ! Chimériques esprits, vous voilà traversant La rivière malicieuse, de mes mots encanaillés Aux rimes colorées, de mes mélopées inspirées Que votre âme soit, soleil de cet humble émergent
Rêverie tu penses, à ceux que tu ne saurais connaître Tu les vois si belles et beaux, de cet intérieur floral D’où montent leurs parfums, au siège sans égal De mon bonheur qui se lie au gage de complaire
Quel plaisir de sentir, votre tendresse exacerbée Par ce repas de mots légers qui caresse votre pensée Quand de vos regards attendris, vous léchez à satiété le sonnet Jamais repu, vous en reprenez, prodigieuse fidélité
Quand l’heure de nuit sonne, sur le trémolo de ma plume Je me couche impatient, sur le lit de votre belle volonté Vouloir toujours que je vous offre, la plus belle intensité De mes vers que je cueille, au levant de mes terres diurnes
Penché incognito, sur mes quatrains avec ce bel entrain Je sens votre présence qui envahi sage, ma saine pensée Elle se prête libérée, à votre voracité de savoir la disséquer Voilà un bien que je ne puisse, vous refuser avec regain
Rêverie propose leurs, ce grand merci fait de somptueuses lettres d’or Qui dévalent des montagnes de ma pensée, heureuse de ce filon Qui ravivent tous les coteaux, les vallées d’alluvions de bontés Pour me permettre, d’enrichir votre pur bonheur, au fond de votre doux décor. Cƒ width=300]https://i11.servimg.com/u/f11/17/77/98/61/reveri10.jpg[/img]
|