Assis sur les rochers des rives du Léman, Sous le soleil dorée, sous les cieux de turquoise, Force est de contempler la belle genevoises Bordée en tout endroit des charmes d’olibans.
S’étale sous mes yeux l’étendue de turquoise L’ondée jamais domptée intitulée Léman Qui au large s’estompe en des bois d’olibans Aux senteurs caressant les portes genevoises.
Après la vielle ville, insigne de jadis, Se dresse un joli mont où croissent les orchis. Le faune y tient demeure ainsi que les dryades,
Un peuple égaré là pour tant de beaux secrets Pour ceux de la nature et ceux de la bourgade. Ainsi est présenté mon bourg dans ce sonnet.
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