Le temps pourlèche habile son temps
Vol d’oiseau au retour, vers le primat
Se débarrassant aux confins, des auras
De ces traces, d’existence du firmament
Astres féconds brûlent, des pures passions
Attisent l’instantané, de la purification
Engendre des halos, de grandes réflexions
Sur cet univers brûlis, des muettes connexions
Intersection des êtres, passage des beautés
Planète des corps, orbite naïf de l’incertain
S’affaisse dans le noir, ton noble parrain
Il n’a que faire, de tes phantasmes d’irradiée
Tourne les esprits, sur ce temps qui s’en va
Inquiétant présage, ne garder aucun profit
De l’initial, atome des bontés de l’infini
Surgit d’inexistants, repaire d’un sebkha
La pensée humaine viole, la raison des vérités
Des pouvoirs qui transportent, les vies au charnier
Déroutant l’être, du passage espéré au grenier
D’un temporel sur le paradis, nature des adoptés
Joue le temps, arrête ces penseurs de l’inqualifiable
Montre leur ces folies qu’ils commettent frondeurs
Sur ces espaces, que tu as transmis de tes profondeurs
Otage ne marche plus, qu’ils te fusillent d’une morale aimable
Aiguilles ne tournez plus, sur la sphère des indignations
Humanité tes privilèges, d’être intelligente s’étiolent
Retrouve l’humilité, à ne perdre toutes les fioles
Des bonnes sciences conquises, en grandes justifications
Quand se lèvent les typhons, emportent les plus vils
Sur les monts de leur infini, où règnent les poussières
Ils auront la puissante certitude, dans un rejet amère
Que leur tromperie pour un être parfait, n’est acte à domicile
☼ŦC