La tête confinée dans les étoiles
Mes pensées jouissives scintillaient
De la rêverie batelée des beautés
De ces paysages transposés sur ma toile
De la palette naturelle des tendres pastels
On entrevoyait lascif les doux tracés
De ces châteaux entrelacés rois du passé
Protecteurs de mon esprit à la ritournelle
De la magie initiante des couleurs vivifiantes
Virevoltaient séduisantes mille notes luisantes
De ces pinceaux arpentant d’un silence galant
Les espaces souriants de mon geste innovant
Yeux de l’éveil émerveillés dans les rais des soleils
Du Paysage illuminé au jour de ma démente raison
Senteur immuable du magnifique, éclos des moissons
De la lumière éternelle des tons passionnés sans pareil
Les trésors engloutis s’entassaient à la nuit
Dans les généreux porte-dessins trop ventrus
De devoir se serrer malaisés comme des malotrus
Couchant leurs toiles entassées aux profonds ennuis
A l’heure du repentir des nostalgies brilleront
Sur le front rancunier de ma pensée furibonde
Mes rêves sereins des passés et d’avenir abondent
Recroquevillés pour visiter ma passion des frissons
☼ŦC