C’était un jour de bel été
Les yeux pleins de nouveautés
Partis vers le soleil du midi
Mais l’heure ne les a pas s voir
La plage du doux sable doré
Mort ! Pourquoi cet acharnement
Heureux, gais, sages étaient t’ils
Ils bouffaient la vie, bien serviles
Tu les as pris, sans discernement
Il y a ceux qui te demandent
Ces pauvres, de fin de vie gênée
Par ce refus, de te prendre reposés
Comme une bonté qu’ils quémandent
Tu rejettes ceux là , de leur désespoir
De cette vie qu’ils trouvent abjecte
Ils considèrent , ton comportement suspect
De ne vouloir, les prendre à leur espoir
Mais ces autres là , ils voulaient toute la vie
Jouir, oui jouir, de cette belle envie
De se construire un bel avenir, un défi
Dans l’amour, de leurs proches ravis
Mais toi scélérate de la douce comédie
Dans l’instant tu as surgit, fielleuse
Pour rapiner dans l’horreur désastreuse
Les âmes de notre jeunesse asservie
Mort donne maintenant , le bon repos éternel
A ces âmes, dont le seul grand reproche
A été privation de bonheur , ô désir trop cruel
Ils ne sauront plus, ne verront pls
Que la vie était belle, si berllertous
Mort laisse leurs dire à ceux qui les pleurent
Nous sommes partis, gardez nous dans vos cœurs
Profitez de votre vie, ne jouez pas avec la frayeur
-Pensez à nous pour vous évit
et de grandes torpeurs.