Mon bonheur perquisitionné n’est pas lÃ
Où le trouverai-je, cet indigent trop doux
Dans le radoub de ce port étoilé du ciel fou
Mon esprit intrigué pénitent divague renégat
Je l’attends comme un présage, sage le poursuit
Il viendra à quelques instants, je suis sûr à me bercer
Comme un fils ; dans des bras maternelles trop usés
De vouloir enraciner, encore enraciner sur lui ce lavis
L’intrus soudain est venu ; gris déranger ma folie
Je vous envie, l’éréthisme de votre bonheur
Votre auguste calme, ne vous fait pas peur
Me dit -l sans devenir, Ã mes yeux un maudit
Je rêve à l’éternel de quitter mon malheur
Comme vous jouir, au sensible du calme
M’arrêter simplement, en douceur sur la lame
De votre sérénité déployée, vers l’éternité
L’intrus est reparti, vers le vaste inquiétant
Il m’a laissé esseulé, à ma sublime pensée
Déposé preste son envie, fortifiée à mon cotés
Inquiet je l’ai touché, vestiges réformant
Je suis sorti de ma nuit de contemplation
J’étais heureux, de sa folle envie délatrice
Couché là sur mon bonheur, minutes salvatrices
J’avouais la supériorité, de ma stricte satisfaction
Je rêvais de bonheur, il me tenait bien serré la main
M’entourait de toutes ses douceurs, dans son silence
Inconfortable mendiant, je ne savais prendre patience
Pour sentir ses ondes bienfaitrices comme bon refrain
Je vous le dit en vérité, ne cherchez pas le bonheur
Prenez le, il est à votre coté, près à se déposer
Trop léger, trop doux pour que vous le soupçonniez
Il vous entoure, apparat pertinent de ses mille ardeurs.
☼ƑƇ