Je n’avais imaginé
Qu’humain de grand cœur je pouvais
Oui! Qu’un jour je pourrai, mais
Oh vous! Rapace de ce monde
Religieux de l’immonde
Souvenez-vous de votre faconde
Desservie sur notre monde
Nous faisant tourner à la ronde
Pauvres laquais de la honte
Subissant votre cruauté pour monte
Mais de mon esprit remonte
Ce délice que ma vie affronte
Au bonheur que demain votre tombe
Se retourne en trombe
Dans l’incapacité qui ponte
D’enrayer les méfaits de vos héritiers en compte
Votre trésor dilapidé dans les combes
Que pourrez -vous! Vos mots sont aphones
Aux pays des démons
Et je plombe, et je plombe
Ma malice sur votre tombe
Qui êtes vous poussière de conte
Que possédez-vous âmes sans compte
Eux oublieront vos directives qu’ils abandonnent
Eux briseront vos accords qu’ils n’affectionnent
Votre nom, haineux, eux ils n’ambitionnent
Ils vous hurlent : Que votre poussière se morfonde
Aux enfers de notre faconde
Nous sommes heureux de ce silence qui tonne
Et Enfin joyeux me voilà libéré loin de ma honte
Elle est profonde
Voilà pourquoi je vous affronte
Je rêve de votre mort
Vous Les despotes, les tyrans,
les religieux démoniaques
oui de votre mort
De celle que mon mors
Dans mon esprit mord
Soulagement sans tord
Dans l égal départ du sort
Qui vous dévorera sans tord
Votre carcasse bouffie du remord
D’être parti sans coffre fort
Dans l’au-delà fort
Quand le tout, elle vous pris alors
J’entends : Ô mon fric d’abord
Et mon règne, mon rang, mon port
Oui je me soigne de notre pacte : Merci la mort
D’être coupable d’efforts
Pour ne pas oublier ces dits forts
Qui ne pourront plus briser notre accord.
Les voir tous disparaître de mon encor
☼₣€