Hurle l’Inquiétante sirène,
Aux tons des transpirations
Qui passe furtive à la tentation
De mes yeux inquiets de la peine
Bas coté de la rage, d’instants pénibles
Où gisent, les malheureux de la route
De ces égarements, pour la grande joute
D’être ce pressé malin en restant audibles
La malchance fidèle, vient de se justifier
Par ces gestes inacceptables de l’un
Qui s’enferme dans un débat vain
De vouloir légaliser, sa faute révélée
La foule apeurée, encercle la mort
Et la ronde macabre des voyeurs
S’indiscipline, au travail des sauveteurs
Le temps, le temps à un goût de remord
Et ce linge, pur dans sa blancheur
Grise la pensée, de votre affliction
De voir le noir l’emporter, sans justification
À faire disparaître, un être dans sa splendeur
C’était ce jour de fête, qui vous donne les joies
De vivre votre destin, bien souder au bonheur
Mais l’instant inexpugnable qui hurle la douleur
Brise en la seconde; ces vies calmes dans l’effroi
L’amour de l’humanité, commence par le respect
De ces autres dans la règle, de la morale humaine
Contrefaire à la règle; demande une réparation saine
Qui déboute les contradictions; dans tous ses aspects
La mort dans la mort n’est pas fiable vertu
Mais douleur dans la vraie douleur déchoit l’amertume
De ceux qui souffrent, dans ce silence ou transhume
Dans les esprits éprouvés, le souvenir des disparus.
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