Un jour de mai j’ai décide
De faire une longue ballade
Ce ne serai pas une promenade
Mais un long périple troublé
Combien de loups sur le chemin
De leurs crocs m’ont de morsures
Abimé image de vie pure
Qu’à cela ne tienne je ne suis un pantin
J’ai été émerveillé par ces paysages
Où parfums dévalaient ma pensée
En ces bonheurs qui vous pansent habilité
Pour vous offrir bontés d’usage
J’ai franchi col de la passion
Où l’amour vous mène au lit du soir
Pour entretenir chaque jour l’espoir
L’Espoir de votre bonheur à chaque saison
Pépites d’or des ruisseaux je n’ai vu
Mais je me suis enrichi des grâces
Que ma procuré ces amis en leurs traces
De générosité comme eau toujours drue
J’ai emprunté des chemins de terre
Où j’y ai crotté mon bel esprit
Mais qu’il fut doux de philosopher
Sur le bon , le mal de l’humanité
Croyez bien me voilà assis sur l’horizon
Où les derniers pas vous conduisent
Vers ces inconnus qui ne vous séduisent
Mais sens de la vie n’est-il pas d’aller
Rejoindre la fin de votre saison
Ce terme de votre long voyage
☼ŦC