Je voudrai aimer, tant aimer le monde
Il est si loin, trop loin de ma pensée
Pour déposer mes grands pleurs désoles
A ne pouvoir le débarrasser de l’immonde
Que mes pleurs recouvrent ses malheurs
Lavent tous les désordres d’humanité
Étanchent les soifs de bonheurs espérés
Noient les tueurs des vies inhumées
Mon sang crisse en coulées désespérées
De goûter conscient toutes les injustices
D’encaisser le refouloir de ces artifices
Pour se voiler les yeux de la grande pauvreté
Mes yeux cherchent le beau de la noble nature
Plus de foret, plus de saine nature, tout est spolié
Il me reste l’artificiel pour ne pas au jour succomber
Que ne verrai-je plus qu’il me reste à voir de sûr
Je ne suis pas le drogué désabusé d’environnement
Mais je suis saoul, je déambule comme un zombi
Sur cet espace d’univers qui désespéré là , m’anéanti
Il veut me consoler de la folie de son effondrement, mais...
L’abime appartient à celui qui se va aveugle vers le précipice
Brave gens ne vous laissez pas entraîner vers leur maléfice
Gardez les yeux grands ouverts pour pouvoir vous protéger
Car nous sommes tous responsables du laissez-faire abondé
☼₣€