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Nouvelles : La belle est la bete : chapitre 1
Publié par Kykie le 01-04-2016 22:23:44 ( 824 lectures ) Articles du même auteur



Un grand bruit me réveilla. J'entre ouvre les yeux, au début je ne voyais que des tâches flous, des tâches noir sur du blanc, ma vision s'éclaircit peu à peu. Je distingue alors une grosse porte faite de métal, une cuvette de toilette, un petit lavabo, la pièce est étroite et sombre, où suis je ? Je me redresse avant d'être bloquer par des chaînes que j'ai aux chevilles et aux poignets, je force dessus mais rien y fait impossible de les enlever, elles sont bien fixer.

Faisons un récapitulatif, je me réveille dans un endroit inconnu attachée, prise au piège et je ne sais pas où je suis ni qui je suis...
Ma pensée est interrompue par la porte qui s'ouvre, ce qui crée un grand bruit, une femme entra, remercie un homme, sans me prêter la moindre attention, c'est une femme de trente ans maximum, assez grande, fine, vêtu d'une blouse blanche, ouverte qui laissant entrevoir un chemisier rose pâle, où ses cheveux longs bruns retombe sur ses épaules, elle porte également un jean bleu, une paire d'escarpins noirs, ses yeux vert-bleu surmonté d'une paire de lunettes noires en contradiction avec ses lèvres qui arborent un rouge à lèvre rouge coquelicot, ses cheveux noirs contraste avec sa peau blanche, elle sorti deux trois instruments de son sac:

"- Toujours endormi... vraiment la Belle au bois dormant, lança-t-elle me pensant toujours endormie.
- Elle est où la Belle au bois dormant que je l'embrasse pour la réveiller, répondis-je sans le vouloir"
Elle sursauta, se met face à moi, un peu effrayé :
"- Bonjour... Vous êtes enfin parmis nous, une bonne chose ...
- Une bonne chose ?! Je me réveille à attacher un lit, dans un endroit que je ne connais pas, je ne sais pas où je suis ni je suis même depuis quand... C'est vrai on peut pas rêver mieux ...je m'arrête de parler à bout de souffle.
- Doucement ! Prenez votre temps, ça va faire un moment que vous êtes endormi, si je puis dire ainsi.
- Pouvez-vous me dire depuis quand je suis ici et où je suis? demandai-je légèrement agacée.
- Vous êtes là depuis presque deux mois, mis à votre arrivée dans un coma artificiel durant une semaine, car vous étiez déjà à moitié consciente, mais vous vous n'êtes réveillée que maintenant et pour la question où êtes-vous êtes dans une cellule d'isolement de la prison de Denver, dit-elle avec le plus grand calme."

Je fais comme une chute de vingt mètres, je suis en prison... Impossible !
Elle me regarde avec un air désolé comprenant que je ne savais pas pourquoi j'étais ici.

"- Pourquoi je suis... En prison ?
- Je ne peux vous le dire... Désolé mademoiselle Clarck...
- Alors je me réveille en prison, attaché à un lit sans savoir pourquoi, ni qui je suis, la première personne que je croise ne peux me le dire, vous foutez de ma gueule !
- Calmez vous s'il vous plaît...
- Calmez-vous, je rêve si vous étiez à ma place vous seriez calme peut-être ?!"

Elle me répondit pas me disant encore et toujours de me calmer. Je commence à m'énerver de plus en plus en répétant : allez vous faire foutre avec vos calmez-vous. Elle me regarda choqué, je m'agite de plus en plus tirant sur mes chaînes créant de grand bruit. Elle continua de répéter calmez-vous, calmez vous s'il vous plaît. Sa voix est alors qu'un son lointain presque inaudible à mes oreilles, je continue à m'agiter de plus en plus, elle partit alors en courant et criant :"la bête, la bête, la bête est de retour!"

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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