Essentia Mala
Mollesse, longueur des abominations, Tristesse, stupeur devant la magnifique aliénation, Que j’aime cette disgrâce sanguinolente, Dans ces rinçures en souffrance, j’arpente L’horreur de ce monde : son essence, Sa vraie beauté est la souffrance.
Et moi je puise dans ces cris de douleurs, Je bois le nectar cruel de ces visages de malheur ! J’extirpe la puissance de ces maux, Le non-rythme s’installe dans le tableau Et fais fleurir les plaies atroces Sur ton corps déchiré qui se désosse !
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