Cette fois c’en est trop, je vous le dit tout haut, Je n’accepterai plus la moindre observation, J’avais jusqu'à ce jour, un peu par compassion, Accepté moult fois de n’en point faire écho.
Au risque contingent, de faire naître ici bas, Des remarques acerbes en total désaccord, Avec les plus nombreux, mais là je me sens fort, De vous avouer sans fard, l’objet de mon combat.
Il eut été plus simple de fermer mon clairon, De rentrer dans le rang, et d’accepter la chose, Comme vous le faites ici, c’est à peine si j’ose, Vous le dire en ces mots: tels de vils fanfarons !!!
J’entends déjà d’aucuns pousser des cris d’effroi : ‘’De quel droit le Titi vient nous leçons, donner, Alors que ce pauvre hère, d’âne avait le bonnet, Durant son temps scolaire,…. le protégeant du froid’’.
Je répondrais ainsi à tous ses pisse-froids De toutes les écoles que j’ai pu fréquenter, La seule qui a su savamment m’adopter, Fut l’école buissonnière, ou là , j’étais le roi.
je sais que le silence est cousin d’accortise Mais celui qui se tait, en vérité consent, Aussi j’ n’en puis plus du calme assourdissant Dés lors à cet instant, il faut que je le dise.
Mais que je dise quoi !!!!! ma mémoire défaille, Plein d’aigreurs j’avais, mais ne sait plus pourquoi ??? Et malgré mes colères, soudain je reste coi, Je dois, dans mon neurone avoir certaines failles.
Pourtant je me sens mieux, car j’ai versais mon ire Sans aucune raison, juste pour le plaisir D’ouvrir ma grande gueule, ayant pour seul désir, De pester sans motif, d’écrir’ pour ne rien dire……………. !!!!!
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