Mon très cher frère,

Et moi je reste coi.
Mais me diras-tu il n'y pas de quoi,
Encore que devant ces mots il peut y avoir mon effroi.
Après tout, ce ne sont que des mots en convoi.
A retrouver la bonne voie, je m'y emploie,
Désirant chasser au plus loin mon désarroi.
Et je tiens à en faire un principe de foi,
Sans vouloir en faire les tables de la loi.
In fine de tels mots il ne faut garder que les émois.
Certains auraient beau jeu de dire mais pourquoi?
Parce que l'on voit leur beauté en revenant vers soi.

Voilà un petit texte écrit en automatique que tu as inspiré, frérot. Tu en inspires beaucoup.
Je ne crois pas que cela soit par hasard.
Eh, il paraîtrait qu'il fait bien les choses, celui-là. Chut!
Pom pom pom pom pom pom pom pom pom pom pom pom pom!
Tu veux un peu de sable?

Merci pour ce très beau poème.

Bises.
Très fraternellement.

Jacques