| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Accueil >> xnews >> Mes serments - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Mes serments
Publié par malhaire le 14-01-2016 16:59:44 ( 815 lectures ) Articles du même auteur



Tu peux venir me prendre aux mots
Plus souvent te pendre à mon cou
Sais-tu qu’il n’est jamais trop tôt
Pour s’élever, se donner tout.
Il est en moi, tant de soleil
Bien plus de lumière que de pluie
Tu me sais déjà sans pareil
Fidèle à ce que j’ai promis.
Tu peux me saisir à moitié
Si le jeu en vaut la chandelle
Pour toi je resterais entier
Un silence, un bruissement d’ailes.
Je crois que tu sais que je t’aime
Je te dis tout, je ne dis pas
Pour toi j’ai dévoilé quand même
Tout ce que j’ignorais de moi.
Je peux me perdre en tous ces mots
Puis un sourire, comme un regard
Il faut parfois tendre le dos
A ce que l’on apprend trop tard.
Vois-tu je n’ai rien oublié
De mes serments, de nos jeunesses
Je suis épris d’un temps passé
Bien plus de celui qu’il nous reste.

Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
201 Personne(s) en ligne (124 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 201

Plus ...