( Et n'allez pas croire, que la poésie, c'est du cinéma ! )
Et le vieil homme raconta :
"-Il était une fois dans l'ouest, Un peu à l'est d'Eden, Le vieil homme et la mer Sauvèrent le Petit prince. Il y avait comme un mur de l'atlantique, Ce n'était pas le grand bleu, vois-tu, Ni la guerre des boutons, Mais plutôt le voyage au bout de l'enfer Et dans le même temps, on se croyait à l'age de glace. C'était vraiment la grande vadrouille, Le jour le plus long, C'était le temps de la fureur de vivre. D'un côté, le dictateur, De l'autre, on le disait géant, Je ne sais pas pourquoi, on parlait des temps modernes, Moi, je ne voyais que psychose, Comme le long silence des agneaux, Nous n'entendions même plus les oiseaux, Pas même un vol au dessus d'un nid de coucou Et dire qu'ils se nommaient les affranchis, presque intouchables, Peut-être aurait-il mieux valu vivre à vingt mille lieux sous les mers ! Mais vint la chute, Puis les sentiers de la gloire, Puis, un jour...
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