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Poèmes : Un matin
Publié par Jeff111 le 29-11-2015 13:44:19 ( 919 lectures ) Articles du même auteur



Fantaisie d'un matin qui commence,
Il est temps de rêver,
D'appeler les baisers.

Sous tes paupières jouent des ruisseaux,
Sur tes lèvres une fièvre brûlante.
Serpent sous ton corsage.
J'aperçois ta beauté céleste
A travers tes jupons
Et le soleil est jaloux de moi...

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Auteur Commentaire en débat
a-encre
Posté le: 30-11-2015 18:55  Mis à jour: 30-11-2015 18:55
Aspirant
Inscrit le: 07-05-2015
De: Eaubonne
Contributions: 40
 Re: Un matin
Tant qu'il y aura des matins...
Istenozot
Posté le: 03-12-2015 16:59  Mis à jour: 03-12-2015 16:59
Plume d'Or
Inscrit le: 18-02-2015
De: Dijon
Contributions: 2303
 Re: Un matin
Cher Jeff,

J'aime bien ton matin.
J'aime bien les matins.
J'aime bien les matins chantants et brûlants!
J'ai même écrit un poème sur notre vision des matins :

Les jours, les nuits, la règle n’était pas de plaire,
De t’illuminer sur la terre de Voltaire.
Je désirais seulement me construire en toi,
Et t’aimer, en princesse rebelle, avec foi.

"Nous fîmes, histrions de l’amour, parcours commun;
Dans l’étreinte d’Aphrodite, nous ne fûmes plus qu’un.
Aux jours perdus, de nouveaux printemps d’espérance
Pouvaient nous mener sur bien des chemins d’errance.

J’ai voulu connaître nos émotions secrètes.
Baisers, caresses n’étaient que prémisses aux désirs.
Les scintillements de nos corps étaient fêtes;
Nous baisions, corps échauffés, au milieu des rires.

Il régnait sur mon cœur une épaisse tourmente,
Où les chemins de la raison eurent peu d’emprise.
Matins brûlants, vous étiez aux senteurs de menthe,
Matins chantants, que d’espérances me tenaient en prise.

Les vents du chagrin m’éloignaient du tendre amour,
Alors que notre étoile, en trompettes, en tambours,
Nous rapprochaient toujours de l’astre du berger.
Les yeux affirmaient notre idylle, sans le chercher.

Comme la peine peut chanter au soleil,
Tes sourires raisonnaient comme des merveilles.
Matins brûlants, nos rêves étaient si radieux,
Matins chantants, vos grâces étaient sans pareil."

Et vive les nouveaux matins comme le tien!

Amitiés de Paris.

Jacques
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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