Nous parler de la mort, voila curieux défi, Que propose, ce jour, ce couillon de Titi ; Il songe, sans nul doute, que le sujet dérange, Que les gens de L’ORée parlent plutôt des anges Que de la grande faux…….., (qui ne sonne pas vrai….), Et que les L’Oréens, cela va les navrer D’évoquer le trépas, étant plus habitués, A parler du bonheur, d’amour et d’amitié. Le Tourangeau se dit, que ce sujet morbide Sera pour une fois, un échec, un vrai bide, Pensant, car que le loustic est de nature oisive, Qu’il n’aura pas à faire, de manière intensive, De nombreux commentaires, pour mieux se reposer D’un week enk chargé en abus de rosé !!!!
Erreur des plus funeste, et je dirai mortelle, La mort étant sujet, qui largement appelle A grande réflexion, à ce questionnement : Qu’il y a-t-il donc après, rendu au firmament, Personne n’a réponse, mais on peut avancer: Si nul ne revient c’est, qu’on vit bien…….trépassé !!! D’ailleurs, cette posture à nourri, de tous temps, Les poètes au travers de termes percutants : Ainsi le clown, dit on, tire sa révérence, Pendant que le soldat lui est mort pour la France, Ou bien qu’il est tombé, épique, au champ d’honneur ; Tandis que le notable est mort de sa bell’ mort On prétend : ‘’le martyr a finit de souffrir’’ Et que le suicidaire à préféré mourir… Le Roi est mort, alors crions :’’ vive le roi’’ Quand un chinois mourant dira :’’…. et moi, et moi…..
Merveilleux et lyriques, ainsi sont les poètes Qui convertissent en vers, en proses les plus chouettes, Le départ d’un ami, qui en terme de vers, Qui vont le dévorer, lui sera un expert !!!, C’est ainsi, acceptons la fin inéluctable, Qui nous est imposée de façon implacable, Mettant au même pied, nantis et indigents, Qui rendus dans la tombe, sont en rien divergents !!!, La seule différence, remarquable et marquante C’est au cours des obsèques, qu’elle est flagrante, Et qu’on perçoit la chose, sachant que le nanti, Par une foule en pleurs, son corps sera suivi, Des larmes de croquo, séchées dans la seconde, Juste pour la photo, car la peine est profonde, Dans ce monde d’argent, que si le testament, En justifie l’effort; tandis que l’indigent, Sera, au cimetière, accompagné par ceux, Qui très sincèrement, fort des larmes aux yeux, Regretteront l’ami, le fidél compagnon Qui partageait son pain, son modeste quignon.
Permettez pour finir, que j’émette ce vœu : Quand je devrai partir, pour aller jusqu’aux cieux, Surtout pas de discours, et nul panégyrique, Je veux vivre ma mort de manière authentique, Sans faux semblant, sachant que de toutes manières, Il faut, pour en finir passer au cimetière !! Eviter donc les larmes qui risquent de tomber Dans le vin de Touraine, qui viendra arroser, Mon ultime départ; il ne faut pas gâter, Ce qui fait mon bonheur et………….. ma joie d’exister !!!!
A votre santé, jusqu'à ce que mort s’en suive !!!!!!!!!!!!
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