- Toi l'italien , toi mon ami , je pense te voir encore ici : tu m'avais parlé des loups à Paris , vêtus de vert et gris .
- Partageant du fond de ton âme , tendresse et histoires de femmes ; menuisier et casquette au vent , tu vins séduire un casque d'or : et de chanter toujours et encore , tu as traversé le mauvais temps .
- Quand avec l'ami Georges tu parles de liberté , je crois qu'enfin un jour tu l'avais trouvée : et tu as brûlé les affiches , avec ta voix tendre et riche .
- Madame vous étiez si belle , quand de leurs étincelles ; Reggiani et Brel , vous donnaient des ailes .
- Quand de quelques trous de mémoire , un enfant devant un miroir : tu aurais même pu nous faire croire , que la vie était à boire .
- Alors on regarde vers le ciel , ta destinée éternelle ; et cette étoile qui vient d'éclore , brillant de la nuit à l'aurore : laisse chanter dans un sourire , ta voix et ton souvenir .
André - Aligatorpoète - Pecquet - Belgique .
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