Pour habitude ayant,la chose est peu courante, De passer le dimanche aux matines sonnantes, Voir mon ami François, pas celui de Hollande, Les hommes politiques, me foutent trop les glandes.
Je parle de celui, connu comme un loup blanc, Logeant place St Pierre, tout prés du Vatican, Un petit quatre pièces, simple, sans artifice, Car son métier réclame le gout du sacrifice.
Nous nous étions connu, un soir à Buenos-Aires, Nous avions communié, autour d’un ou deux verres, Et avions pris l’Ostie..... spumante, un vrai délice, Que Jorge Mario, buvait dans son calice….
Il a eu la passion du métier, c’est unique, Alors que son papa féru de mécanique, Pour à peine une obole, accordait les soupapes, François avait juré, moi je serai le Pape !!!
Aussi, en ce dimanche, au balcon installé, De son appartement, donnant, ce n’est pas laid, Sur la place Saint Pierre, et d’où il bénissait, Les pèlerins présents, et tout en bas massés.
François très gentiment, voulut qu’a ses cotés, Je me tienne un instant, mais me suis rétracté, J’étais venu sans bruit, sans personne alerter Fatigué de mes fans, de ma notoriété.
Les louanges habituelles et certes justifiées, Vantant mon intellect, par d’aucuns magnifié, N’avaient pas en ce jour, lieu d’être célébrées, Faire de l’ombre à François, ce n’était pas l’objet.
Alors que j’étais là venu incognito, Rencontré mon poteau, le gars Bergoglio, De la foule montât un cri, un chuchotis : -‘’Mais qui donc est le gars à coté de Titi’’
Ainsi, ma discrétion ne fut pas suffisante, Rejetant mon envie de réserve, prégnante Ma charité Chrétienne fut bien mal acquittée : François, ne m’ tient plus en odeur de sainteté…...!!!
Pour me faire pardonner de ce poème blasphématoire, j’irai, en fin de matinée me confesser auprès du père Antoine……………….. c’est le bistrot du coin de la rue !!!
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