Je me suis attardé sur leurs mots Ils me racontaient un amour disparu Je l’ai transposé sur mon esprit nouveau Pour comprendre sage son méli-mélo
Je leur ai conté que l’amour c’est la vie Construit fidèle sur une routine légitime C’est un début, c’est une fin, beau défi Il suffit d’aimer la vie pour trouver son sublime
Qu’est-ce le sublime ? Un moment passionnant Dont l’on cueille ivre les saveurs passantes Pour cela il faut se trouver sur le bon chemin Ne le cherchez point, veillez votre chaque matin
Au matin de votre gaîté, de votre puissant bonheur D’être là , être celui qui connaît la chanson des pleurs Soyez très présent au jour sain, l’instant vous proposera Une beauté qui bientôt dans votre ciel vous troublera
Il sera généreux et heureux de vous prendre la main De vous conduire aisé aux premiers rayons sereins Où l’amour se construit passionné sans déposer truelle Quand on entend l’appel des si doux décibels de la belle
On ne l’attendait pas en ce jour, comment est-elle là ? C’est vrai Je ne la cherchais, c’est toujours comme cela Pourtant chaque matin je me regarde dans ce miroir Je ne suis pas plus beau que cette photo dans le tiroir
Je vais crier mon bonheur en levant un vers Il sera le plus joli, car ce ne sera pas un revers J’avais un amour de rechange, ô toi la belle poésie Là , présente à mes cotés tu m’aimes sans fantaisie
J’oubliai l’essentiel de la vie, tous ces amis poètes Ces attentionnés de l’amour, il me sorte de cette quête De mon imbécillité de tout lâcher, bien trop sèchement Je reprends donc ma plume et je vous aime tendrement.
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