Que Dieu nous pardonne et Victor Hugo aussi De nous livrer ainsi à mille facéties. Si cela t’agrée, Dieu, reste là où tu es. Toi Victor, je t’en prie, rejoins notre banquet.
A la pensée du cher Kjtiiti je m’arrime, A tant désirer l’imiter dans quelques rimes. Et tout comme lui je rends mes hommages à Delphine, Qui est de nos défis la muse divine.
De là à le suivre pour aller jusqu’au crime, Malgré mon amitié pour lui et mon estime, Pour ma part, je préfère la folie d’ailleurs, Pour en être auprès de vous un ambassadeur.
Ecoute Victor, si tu veux plaire à Delphine Afin de demeurer dans toutes ses combines, Ecris des vers sur la magie, les fées clochettes ; Avec elle, tu feras de belles cueillettes, De mots où l’humour fera voler les paillettes !
Reste au milieu de nous, je t’en prie, très cher Hugo, Nous te promettons de ne pas être dingos. Juste un petit peu, alors, pour nous faire rire, Et dans le désir de bien vivre, nous inscrire.
Nous sommes protégés par Loriane et Delphine. Dans tous nos textes, aucun coup de chevrotine Ne peut atteindre la beauté noble des mots. Elles ont la sagesse de nous remettre à flots.
Jacques Hosotte
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