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Poèmes : le portable
Publié par tahahamidi le 12-07-2015 16:30:00 ( 953 lectures ) Articles du même auteur



LE PORTABLE
Je n'ai pas d'un portable
Papa exagère d'acheter l'un formidable
J'ai fait toutes choses pour lui devenir le mien
La prière, l'invocation et aussi ne faire rien
Le vol est la seule possibilité qu'on peut pour avoir fait
Et tu sais, mais ça exprime la diminution de mes bienfaits
Etre attentif n'est pas mon imitation
Ils disent comme ils veulent, mais je n'ai pas compris l'explication
Ah !mon dieu, qu'est-ce que je dois faire ?
Quand je demande à mon père, il me dit que je dois taire
J'éprouve que ce ne soit pas juste
Mon sentiment s'est imprimé d'une piste

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Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
emma
Posté le: 13-07-2015 20:42  Mis à jour: 13-07-2015 20:42
Modérateur
Inscrit le: 02-02-2012
De: Paris
Contributions: 1494
 Re: le portable
Bonjour,

Ton texte m'évoque une très difficile maitrise de la syntaxe en Français. Peut-être nous viens-tu d'une lointaine contrée de la francophonie ?

Je te souhaite la bienvenue.
Exprime toi à ta façon, ici nous sommes tous des amoureux un peu fou de la langue de Victor Hugo.
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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