Le poète à posé la plume
L’été à mis ses rayons d’or Sur le pays qui s’en repaît. Oisif, l’aède s’est drapé Dans un silence de confort.
Les vers, ont pris quelques vacances Et si amour, avec toujours, Riment encore au gré des jours, Seshat ne compte plus les stances .
Les amoureux sont à eux-mêmes, Livrés, faute de poésie, Et seul Cupidon s’extasie, A l’énoncé des mots :’’ je t’aime’’.
A L’Orée règne la quiétude, D’un site ou les choses futiles, Annoncent des demain fertiles. Les ORéens sont en étude !!!!
Poètes aimés reposez-vous, L’été passé, vos plumes agiles Seront, de nouveau, les vigiles, De l’amour qui compte sur vous
………….après tout Apollon ne tend pas toujours son arc………….
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