Je me perds dans des images Réelles ou bien virtuelles Se concentrant au passage Sur les sentiments des Hommes
Mon cœur fragile se morfond au détour de chaque tournant Sur l’un ou l’autre qui travail abondamment Il galère et se lève sans le moindre mépris Pour ceux qui depuis antan on vu leur rêve farcis
Et moi et moi je reste muette Séchant mes larmes fragiles de compassion Sensible je suis de leur malheur N’arrivant pas à accepter ce déshonneur Pensant un jour que gloire arrivera Balayant détresse et la soulagera
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