La vie est une sorte de prison Nombreux veulent l'unification L'horreur de la guerre est sous leurs yeux Ils aimeraient monter vers les cieux
Des morts à cause des bombardements Que des tas de corps malheureusement Le peuple s'effondre en larmes Son seul souhait, le dépôt des armes
Dans l'espoir de reconnaître la paix Tous sont prêts à le rendre vrai Une douleur qui est si profonde Qu'ils se retireraient de ce monde
Pour mettre fin à cette cruauté Il faudrait un minimum de pitié L'entourage rempli de charlatan On les retrouvera dans le néant
Les traitres ont une place en enfers Comme les ennemis qui en prendront cher Ce peuple goûtera le bonheur Et gardera son pays dans le cœur
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