| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Accueil >> xnews >> Caracas - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Caracas
Publié par EXEM le 23-05-2015 03:55:59 ( 1227 lectures ) Articles du même auteur



Oui je t'aimais parfois, par foi,
Étant très tôt très catholique.
Mais j'ai quitté ton toit, et toi,
Pour devenir un alcoolique.

Je suis ainsi, c'est fou mon chou !
Heureux comme un grand prix unique.
L'enjeu ne vaut le vin d'Anjou.
L'amour plus jamais ne me pique.

Je ne fais plus de ce cas, cas,
Content de boire ma piquette.
Alors adieu vieille biquette,
Je pars en car à Caracas.
Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
tchano
Posté le: 23-05-2015 10:22  Mis à jour: 23-05-2015 10:22
Plume d'Or
Inscrit le: 18-01-2012
De:
Contributions: 297
 Re: Caracas
Des jeux de mots et de sonorités fort plaisants !
Dans la dernière strophe les ca-ca-car les -ca-ra-cas.me font penser à des spasmes de maracas.
j'aime le tout.
Athéna
Posté le: 24-05-2015 11:19  Mis à jour: 24-05-2015 11:19
Plume d'Or
Inscrit le: 10-07-2014
De: vignes de la pettie fin
Contributions: 421
 Re: Caracas
Je me suis régalée..

Merci

Athéna
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.
Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires

http://www.lr2l.fr/acteur/association-lache-les-mots-montpellier.html
http://www.editionsdelherne.com/
http://www.weboscope.com
Sont en ligne
70 Personne(s) en ligne (23 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 1
Invité(s): 69

Olvens, Plus ...