Je m'en souviens trés bien C’était du chocolat au lait Il y avait aussi une verrière
De la verrière plein le tableau Pour l’éclairer pour le sécher
Ses cheveux peinaient à danser Ils grisonnaient fort bien Il était maigre dirait on Il était un peu courbé Du côté des temps plus véloces
Son tableau se reposait D'avoir atteint toute la verrière
C’était une barre de chocolat Prise à des doigts de térébinthe Une barre adoucie par du pain Du pain au lin de chiffon gras Du lin d'alliance à figurer De l'été en pleine verrière Le tableau prenait la lumière Et le peintre prenait la pause Pour déguster son chocolat Pour se débarbouiller les yeux De toutes ses couleurs entêtantes.
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