Je l’aime, je l’aime oh oui que l’aime Ma souffrance, ma joie, tout en moi le déclame Je l’aime, je l’aime ah qu’est-ce que je l’aime Mon émoi, mon regard, mes vers tous le déclame
Elle est Cléopâtre et je ne suis point César Mais c’est que je l’aime, je l’aime, ah mais je l’aime Et lui que veut-il ?! Mais il est arrivé trop tard ! Maintenant je l’aime, je l’aime, ah oui que je l’aime
Mais elle, elle l’aime lui, hélas c’est la vérité Et pourquoi ? pourquoi ? oui pourquoi ? Le poète qu’elle a et elle veut le gueux Oh non que dis-je, je deviens fou je crois
Ami ancien et maintenant je l’insulte Triple idiot ! Imbécile ! Non amoureux ! Mais je l’aime moi bon Dieu, et puis triple flûte ! Pourquoi refuses-tu que l’on soit heureux ?!
C’est que je l’aime, je l’aime, zut ! Je l’aime… Sapristi ! Bon Dieu ! Crottes et fientes d’oiseaux ! Viédaze ! Aime moi ! Que je te chante mes consos ! Je t’aime, je t'aime, si tu savais ô combien je t’aime !
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